Se rendre à Las Terrenas
Las Terrenas est une ville de la côte nord ouest de République dominicaine située sur la péninsule de Samana, dans la province de Samana, à une cinquantaine de kms de Santa Barbara de Samana.
Comment aller à Las Terrenas
En bus (jusqu’à Sanchez).
En voiture (2h15 depuis l’aéroport « Las Américas » de Santo Domingo).
Une belle route à péage, pas très cher, (380 Pesos ou 7,6 € en Janvier 2012) relie la Capitale Santo Domingo jusqu’à la sortie de Nagua, ensuite, suivre la fort jolie route en lacets qui grimpe, au départ de Sanchez, la cordillère (loma) dans une forêt de cocotiers avant de redescendre vers la côte et Las Terrenas. C’est long, souvent chaotique (de moins en moins, bitume oblige) mais tellement plein de charme. La route, parfois étroite, traverse des hameaux de campagne typiques, les arbres laissant entrevoir une série de panoramas époustouflants sur le littoral bordé de la prodigieuse immensité de l’océan passant du bleutée au vert le plus profond.
Depuis octobre 2011 une nouvelle route à péage, au tarif prohibitif (il se dit que c’est la route la plus chère du monde en rapport tarif/kilomètre parcouru), relie l’aéroport « El Catey » (proche de Nagua) à Las Terrenas en longeant la côte. Pour notre part nous continuons à prendre la vieille route, laissant le boulevard de la mer aux riches dominicains venant à Las Terrenas passer le week end.
Se déplacer à Las Terrenas
Les centres d’intérêt sont assez regroupés, on peut facilement se déplacer à pied dans Las Terrenas. Lorsque la fatigue se fait sentir, le plus simple est de prendre un moto-concho (diminutif de « moto con chauffer » ou moto avec chauffeur en français).
De nombreuses agences proposent la location de moto et de Quad, ce sont les moyens de locomotion motorisés les plus courants dans le village. Les quads font partie intégrante de la vie à Las Terrenas. On en voit partout. Ils sont très prisés par les touristes et adoptés par les résidents. C’est d’ailleurs une des particularités de Las Terrenas car, mise à part la Police, aucune autre ville ou village dans le reste de l’île n’en possèdent.
Revers de la médaille, le nombre croissant de ces engins engendre un boucan tout simplement infernal. De plus leur utilisation souvent incorrecte (sur les plages, traversée de cours d’eau ou la population lave le linge ou s’y baigne) donne une image désastreuse du touriste.